Les quatre accords Toltèques

J’ai lu il y a quelques temps, un livre qui m’a appris énormément. Une réflexion pour un mieux vivre , ensemble et pour soi. Une technique pour améliorer la communication. Régulièrement j’en relis les préceptes, car même si la base semble simple; l’ intégrer et la mettre en place est loin d’être évident (en tout cas pour moi). Je ne peux que vous conseiller, de lire les quatre accords toltèques, en attendant voici en résumé  4 voies du bien être.

Le texte qui suit n’est pas de moi, il est le regroupement du texte initial et de lectures faites sur le sujet ; trouvées sur internet.

Que votre parole soit impeccable :

« Parlez avec intégrité, ne dîtes que ce que vous pensez. N’utilisez pas la parole contre vous, ni médire autrui. »

Cultiver la modération dans ses propos; ne  pas en dire trop, ni trop vite. « La clé, c’est l’attention à notre discours intérieur. »Les critiques et les jugements que nous cultivons sur autrui, mais aussi les sempiternels « Je suis nul », « je suis incapable » ou « je ne suis pas beau/belle » que nous entretenons à notre sujet; sont des paroles négatives qui polluent notre mental. Or elles sont des projections, images faussées en réponse à ce que nous croyons que l’autre ou le monde attend de nous.

Conclusion: parlons peu, mais parlons vrai, en valorisant aussi nos atouts et ceux des autres.

N’en faites jamais une affaire personnelle:

« Ce que les autres disent ou font n’est qu’une projection de leur propre réalité. Lorsque vous êtes immunisé contre cela, vous n’êtes plus victime de souffrances inutiles. »

Les paroles et les actes de l’autre ne vous concerne pas en propre. Cela lui appartient, car c’est l’expression de ses propres croyances. Vous êtes critiqués ou encensé ? C’est l’image que l’autre se fait de vous. Mais ce n’est pas vous. De même, les événements qui surviennent ne sont pas toujours des réponses à notre comportement. Nous devons sortir de cet égocentrisme qui nous fait croire que tout ce qui arrive autour de nous est une conséquence de notre attitude. Le « moi-je » nous maintient dans l’illusion. Et donc dans la souffrance.

L’objectif: Laisser à l’autre la responsabilité de sa parole et de ses actes, et ne pas s’en mêler. Cela suffit souvent à calmer le jeu.

-Ne faîtes pas de suppositions:

« Ayez le courage de poser des questions et d’exprimer vos vrais désirs. Communiquez clairement avec les autres pour éviter tristesse, malentendus et drames. »

Nous supposons, élaborons des hypothèses et nous finissons par y croire. Poison émotionnel, pour s’en libérer il faut apprendre à mettre les choses à plat, par exemple en exprimant ses doutes. Ce qui implique d’apprendre à écouter et être capable d’entendre.

Comment s’y prendre ? : Il s’agit de prendre conscience que nos suppositions sont des créations de notre esprit. Dès lors que nous élaborons un comportement de pression; source d’angoisse et de stress.

-Faites toujours de votre mieux:

« Votre mieux change d’instant en instant. Quelles que soient les circonstances, faites simplement de votre mieux et vous éviterez de vous jugez. »

Cet accord découle des 3 autres . Lorsque vous en faites trop, vous vous videz de votre énergie et vous finissez par agir contre vous. Mais si vous en faites moins, vous vous exposez à la frustration, à la culpabilité et au regret. Le but est de trouver le juste équilibre.

Comment s’y prendre: Ce  qui est juste pour soi ne dépend en aucun cas d’une norme. Le pire piège est la course à la perfection. L’un des meilleurs moyens d’éviter ce travers est de remplacer nos « Je dois faire ceci » par des « Je peux faire ceci ». Cela permet de s’approprier pleinement l’objectif à atteindre; sans se soucier du jugement et des attentes des autres.

Pour une lecture plus approfondie :

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Belle journée à vous !