Un petit geste pour l’Homme…

En cette période décisive (on l’espère) de COP 21, même s’il serait temps que le gouvernement se positionne concrètement et que les industriels se remettent en question. Nous pouvons tous apporter notre pierre à l’édifice, un acte aussi minime soit il aux yeux de certains, reste un acte.  Voici donc mes petits riens pour le planète. Je n’écris pas cela pour me faire mousser, mais j’espère que cela vous donnera peut être des idées.

Dans la salle de bain :

Minolta DSC

Ce que l’on se tartine sur le corps est aussi important que ce que l’on ingère. Faisant la chasse aux emballages, j’utilise des pains de savons et non des gels douche, un shampoing solide que j’achète chez Lush mais il en existe aussi en magasin bio. Et du dentifrice en pastille de chez Lush dans une petite boîte en carton.Et j’ai trouvé une crème pour le visage et un baume à lèvres dans des pots en verre. Faits mains (sur le photo):

Mon huile pour le corps que j’achète neutre et à laquelle j’ajoute des huiles essentielles. En général celle de  rose et de citron car elles ont des bienfaits pour la peau, régénératrice, drainante…

Mon shampoing sec pour les jours de flemme et pour espacer les lavages: 2 cuillères à soupe de maïzena , 2 cuillères à soupe de bicarbonate de soude, huile essentielle de citron et menthe quelques gouttes et du chocolat en poudre (pour les cheveux bruns).

Des disques démaquillants lavables que j’ai découpé dans une vieille polaire.

Des serviettes hygiéniques lavables que j’ai cousues également (en plus de la coupe). Je ne ferais pas ici un cours sur la dangerosité des tampons et des serviettes jetables,  par rapport aux produits utilisés pour les fabriquer,d’autres l’on fait beaucoup mieux. Mais les filles, je vous conseille vivement de vous pencher sur la question, c’est assez effrayant.

Une brosse à dent à tête changeable.

Dans ma cuisine:

Minolta DSC

Inutile de faire un laïus sur le fait de manger local, de saison et sans pesticides. Je pense qu’on le répète assez.

Privilégier les emballages en verre plutôt qu’en plastique, outre l’aspect polluant dans sa fabrication, ses origines pétrolifères. Il a été prouvé que les contenants en plastique rejettent des produits toxiques dans les aliments, encore plus dans l’huile qui est très absorbante.

Acheter en vrac, en utilisant des sacs en tissus réutilisables (je vous ai déjà fait un petit article sur le sujet). Prendre sa boite à oeufs pour la remplir à nouveau. Prendre des boîtes pour mettre le fromage acheté à l’unité au lieu de le mettre dans un film plastique.

Boire l’eau du robinet et la conserver dans une bouteille en verre si on veut la mettre au frigo. (Je sais que cela va dépendre des régions, car parfois l’eau du robinet est vraiment mauvaise. Il existe des carafe filtrante pour amoindrir cet aspect.)

Quand on a le temps et la place faire un maximum soi même, ses gâteaux, ses biscuits, ses petits plats…et ce n’est pas plus cher que d’acheter du tout fait, au contraire. Et c’est bien meilleur. Je fais également mon propre vinaigre de cidre.

Pour la maison :

Minolta DSC

Exit la javel et autres produits cracras. Je tourne avec seulement quelques produits de base qui servent à tout. Le vinaigre blanc, l’atout magique ! (qui n’apparait pas sur la photo, car je dois en racheter 🙂 ) Le bicarbonate de soude. Et le savon noir. Et parfois de la soude en cristaux.

J’ai enfin fabriqué ma lessive ! Si facile, que je me suis demandé pourquoi j’avais tant attendu pour me lancer : 3L d’eau chaude, 150 gr de paillettes de savon de Marseille, 1 poignée de bicarbonate de soude, 4 cuillères à soupe de vinaigre blanc et quelques gouttes d’huile essentielle de votre choix.

Je n’ai pas encore fabriqué mon liquide vaisselle, mais je fonctionne avec un gros bidon de produit bio que j’ai déjà depuis un an, et avec lequel je rempote régulièrement le flacon qui reste sur le plan de travail.

Je ne vous parlerai pas de tri sélectif…cela aussi on le rabâche assez. Le mieux étant encore de limiter ses déchets.

La petite astuce :

Minolta DSC

Avoir un filet (ou un petit tote bag) toujours dans son sac à main ou son sac à dos ! Utile en toutes occasions, pas seulement pour faire les courses vous verrez ! Celui là est une antiquité, il appartenait à mon arrière grand mère, mais on peut en trouver de toutes les couleurs dans les magasins bio, mais pas seulement car une marque normande (FILT je crois) tente de relancer la mode de cet objet super pratique qui ne prend pas de place.

De quoi s’inspirer:

Minolta DSC

No impact man un roman autobiographique d’un américain qui a décidé pendant 1 an de vivre en réduisant au maximum son empreinte environnementale. Un défi fou mais motivant !

La terre en héritage et de manière générale les livres de Jean Marie Pelt sont toujours très bien écrits, faciles d’accès, même si vous n’êtes pas des scientifiques . Jean Marie Pelt fait parti de ceux qui se battent déjà depuis des années pour le respect de la faune et de la flore. Il montre à quel point nous ne pouvons vivre sans eux, voire même nous devrions en suivre l’exemple.

L’écologie des paresseuses  je crois malheureusement qu’il n’est plus édité. Même si certains conseils sont un peu passés (pour l’épilation par exemple elle ne parle que de la machine pour s’épiler, pas de techniques orientales assez simples à faire soi même avec du miel et du sucre), car je l’ai acheté en 2007. D’autres me servent encore à l’heure actuelle, comme le répertoire des produits nocifs dans les cosmétiques, ou les recettes pour faire ses produits ménagers et autres.

En revanche, je suis complétement nulle pour éviter de gaspiller de l’eau par exemple. J’ai du mal à me lever le matin pour aller au marché . Personne n’est parfait…mais c’est déjà ça. Quoi qu’en pense certains écolos extrémistes et/ou aigris  qui cherchent la petite bête, et sont dans la comparaison voire la compétition de qui sera le plus vert possible. Au lieu de se soutenir et d’encourager. (J’ai découvert avec beaucoup d’effroi, que ces gens là sont loin d’être des bisounours, contrairement au cliché qui peut exister ).Chacun fait en fonction, de son porte monnaie, de son envie et surtout de son temps, car il ne faut pas se leurrer cela demande une certaine organisation.

Et vous, où en êtes vous ? Quelles sont vos gouttes dans l’océan ?

Be happy !

Bein alors ! un ptit coup de mou Roberte ! ?

10612876_10204759366724791_2202102966768928114_n

Voici quelques pensées positives, phrases en tous genres, et autres conseils que j’ai pu glaner ça et là (livres et internet) pour voir la vie plus rose.  Même si d’un point de vue stylistique , cette couleur est tout à fait discutable 😉 Ce qui est fou, c’est que quand on lit ce genre de choses, on se dit « eh oui, c’est tout simple en fait ».Ca paraît même un peu bateau. -En tout cas , c’est ce que je me dis-.  Mais visiblement ,même pour ces préceptes logiques, et basiques, les piqûres  de rappel sont utiles et bénéfiques. Ah non !!! pas les piqûres!! Pas d’inquiétude. Comme disait Jacques Prévert « Soyons heureux, au moins pour montrer l’exemple ».

L’optimisme

  •  Eviter de penser que les malheurs durent longtemps.
  • Prendre une défaite pour un revers provisoire qui ne dépasse pas la situation.
  • Ne pas attribuer la responsabilité d’un problème à soi même, aux autres ou à la malchance, mais en faire un défi à relever.
  • Prendre conscience que l’on peut intervenir sur les choses.
  • Considérer que chaque expérience est source d’apprentissage.
  • Observer vos erreurs, non comme des échecs mais comme un moyen de progresser.
  • Ne prenez pas forcément les critiques des autres comme argent comptant.
  • Apprenez à vous traiter avec bienveillance.
  • Réjouissez vous quotidiennement de chaque petite réussite. C’est un carburant formidable qui donne le courage de passer à l’action.

Conseils pour développer sa confiance en soi (Ne plus craquer au boulot Doc Dominique Servant)

  • Donnez vous chaque jour des petits défis à réaliser: c’est en accumulant des expériences positives que vous gagnerez de la confiance, ainsi vous pourrez vous baser sur votre expérience pour appréhender de nouvelles situations.
  • Evaluez la réussite de ces défis: Si le résultat est positif, fixez vous de nouvelles épreuves qui vous aideront à vaincre vos peurs. La multiplicité des expériences augmente notre capacité d’adaptation à de nouvelles situations. Si le résultat est négatif, analysez ce qui vous a fait échouer. C’est en comprenant ses erreurs qu’on peut les corriger
  • Soyez indulgent avec vous même : Lorsque vous commettez des erreurs; éliminez  les autocritiques improductives ou trop négatives.
  • Développez vous atouts: si on fait appel à des qualités que vous mettez peu en avant habituellement, trouvez en vous les parties jusqu’alors cachées ou inhibées. Revalorisez les pour mieux les affirmer.
  • Variez vous expériences: cependant ne vous lancez pas directement dans des situations trop difficiles qui vous mettraient véritablement en situation d’échec.
  • Evitez de vous mettre en danger: choisissez des expériences pour lesquelles le risque d’échouer est tolérable pour ne pas affecter votre estime.
  • Progressez dans votre estime: graduez la difficulté de vos expériences et concentrez vous sur vos points forts et vos réussites pour aborder de nouvelles situations.

ah ba voila !  ça va mieux.

ah ba voila ! ça va mieux.

Et en clin d’oeil au titre de cet article,car je dois vous avouer que j’aime beaucoup le cinéma britannique. Je vous conseille donc de voir le film Be Happy de Mick Leigh, une bonne bouffée de légèreté.

Merci à Maeva pour les photos.