Direction les Mines de Bruoux à Gargas (non loin de Apt) pour la première édition du Festival Ho’oponopono. Tout commence par un Aloha ! Le Lieu est magique. Cuisine et jus crus, world musique et électro au programme.
Un brin hippie, mais l’ambiance est bon enfant. Pour ceux qui connaissent le principe de la pensée positive ho’oponopono , le lien avec ce festival, à mes yeux, n’est que le nom. A part quelques pancartes avec les mots clés du mantra de base « désolé, pardon, merci, je t’aime ». Mais il n’y avait ni conférences, ni explications, ni stands où trouver les ouvrages en rapport, ce que j’ai trouvé un peu dommage. Voici un résumé explicatif que j’ai pu trouver sur internet: « Ho’oponopono est issu d’une très ancienne tradition Hawaïenne qui s’est transmise oralement de génération en génération. Cet « art » de vivre, cette philosophie se pratiquait pour aider à rétablir la paix en soi mais également pour rétablir la paix au sein d’une communauté, d’une famille quand survenaient des problèmes relationnels ou des enjeux importants. Il permettait d’apporter l’apaisement et la réconciliation en rétablissant l’équilibre par la médiation et le pardon mutuel. » A part cela, je me suis régalée de la cuisine cru, j’ai découvert des saveurs, et de bonnes idées de recettes. J’ai rêvé et dansé sur des airs qui évoquent les mythes et légendes, dans des langues inventées.
Quitte à être dans un beau coin de France,(après un petit plongeon rafraîchissant plus que nécessaire dans la piscine de la chambre d’hôtes: La Bastide du Jas http://www.labastidedujas.com/). Le lendemain s’est changé en visite de villages pittoresques. Saignon où j’ai passé la nuit, Bonnieux pour voir les oeuvres de J.R. Et arrêt à Silencio sur la route de Lourmarin, lieu éphémère de culture et de restauration sur la propriété d’Agnès Varda. Plateaux de fromages locaux et thé glacé, à l’ombre de beaux arbres, ayant comme seul bruit environnant le vent dans les branches. Une belle parenthèse…
(Merci à Maud de m’avoir embarquée dans cette aventure.)